D'après le Figaro, Matignon devrait officialiser dans les heures à venir la nomination de Christine Albanel à la tête d'une mission d'information sur la numérisation des livres et le développement avec les éditeurs français d' « une offre légale attractive sur Internet ». Dans ce cadre, l'ex-ministre de la Culture et de la Communication aurait jusqu'au 1er avril 2010 pour rendre ses conclusions.
L'annonce aurait de quoi surprendre : elle intervient en effet quelques semaines seulement après que le ministère de la Culture a lancé sa propre mission de réflexion sur le sujet. Initiée par Frédéric Mitterrand, qui a remplacé Christine Albanel rue de Valois, elle a été confiée à Marc Tessier, ancien président de France Télévisions et actuel directeur général de Vidéo Futur, et doit notamment étudier l'opportunité et les modalités d'un éventuel accord avec un opérateur privé dans le dossier sur la numérisation des fonds patrimoniaux des grandes bibliothèques nationales. Deux missions sur un même sujet ?
Pour le Figaro, la réflexion confiée à Christine Albanel pourrait bien n'être qu'un préalable à son accession à la direction de la Bibliothèque nationale de France (BNF), dont elle pourrait prendre la tête dès le printemps prochain. Succédant à Jean-Noël Jeanneney, puis à Bruno Racine, elle aurait la lourde tâche d'orchestrer la politique de numérisation de cette institution, dossier dont elle ne pourrait s'emparer sans la préparation idoine. Il faudra notamment décider si la numérisation à la française se fera avec ou sans le recours à des partenaires privés, au premier rang desquels Google. Bruno Racine se disait favorable à cette solution, alors que Jean-Noël Jeanneney y était farouchement opposé.
Vu son niveau de compétence en informatique le pire est à venir !!!
Didier
"Vu son niveau de compétence en informatique le pire est à venir !!!"
Effectivement, vu le nombre de "réussites" informatiques pilotées par des informaticiens, il serait scandaleux qu'un chef de projet ne soit par exemple qu'un lecteur final.
H2 a écrit :"Vu son niveau de compétence en informatique le pire est à venir !!!"
Effectivement, vu le nombre de "réussites" informatiques pilotées par des informaticiens, il serait scandaleux qu'un chef de projet ne soit par exemple qu'un lecteur final.
Les râtés informatiques ne sont pas toutes le fruit d'informaticiens zélés mais bien souvent de chez de chefs de projet incapables de décrypter les besoins de clients ... c'est une grande nuance et quand on connaît pas un sujet on évite d'ouvrir sa grande bouche !
Didier a dit : "Les râtés informatiques ne sont pas toutes le fruit d'informaticiens zélés mais bien souvent de chez de chefs de projet incapables de décrypter les besoins de clients ... c'est une grande nuance et quand on connaît pas un sujet on évite d'ouvrir sa grande bouche !"
Peut-être faudrait-il lire (et comprendre!) ce que j'écris avant de moraliser :
"Effectivement, vu le nombre de "réussites" informatiques pilotées par des informaticiens, il serait scandaleux qu'un chef de projet ne soit par exemple qu'un lecteur final."
Si le chef de projet était le client lambda final, UTILISATEUR, au lieu de l'informaticien bardé de ces certitudes, le cahier des charges serait plus près de la réalité des besoins des clients.
Question à deux balles :ne serais tu pas informaticien ?
H2 a écrit :Si le chef de projet était le client lambda final, UTILISATEUR, au lieu de l'informaticien bardé de ces certitudes, le cahier des charges serait plus près de la réalité des besoins des clients.
NON
Pour la simple raison que les choix techniques, aussi bien matériels que logiciels, ne seraient très probablement pas pertinents.
En revanche, l'équipe MENEE par le chef de projet doit comporter a minima un duo utilisateur (dit expert) et analyste.
Et ledit chef de prpjet ne doit en effet pas être bardé de certitudes (c'est le doute qui fait avancer, donc le fait de vérifier et revérifier...).
Comme d'hab, entre le tout noir et le tout blanc, il y a le bon sens